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Bienvenue a toutes et tous ,je me présente je m'appelle Yvette GOMEZ je suis l'auteur des divers poemes de ce blog qui est fait pour les passionnés tout comme moi d'écriture .
je vous invite à laisser vos commentaires ,
bonne lecture a tous ...
votre commentaire -
Mâchoires contractées,
Je coule du béton
A coups de poing
Face aux murs de mon passé.
Tête tétanisée,
Par le poids de la domination.
Plus aucun repère...
Sexe... Ne pas aimer.
Sexe me rongeant la tête,
Culpabilité, viols,
Croix gammée,
Secte satanique.
Je me perds, je m'égare
Aux portes des enfers...
Satanique.
Mais le tumulte intérieur
Fait un tel bruit
Qu'il nous faut crier !
Crier pour ne pas sombrer,
Et... Surtout, serrer les poings
devant la douleur
Si intense soit-elle
Hurler... Hurler
Nos vies assassinées.
Puis... Écrire,
Pour ensuite, décrire,
Des mots durs,
Les extirper de leur silence,
Pour qu'enfin
Le monde entier sache,
Entende... Comprenne...
Nos têtes fracassées,
Nos têtes explosées,
Nous laissant à tout jamais
Déboussolées.
Égratignures,
Blessures,
Amertumes
S'inscrivent dans nos mémoires,
Dans une totale indifférence
Doute... Doute...
A demie calcinée
Masque... Masque...
A demie figée
Briser... Briser nos doutes.
Nos regards qui se perdent
entre silence, douleur et souffrance.
Ne pas sombrer,
Ne surtout pas sombrer.
Crier... Crier ça déchire.
Sur les hauts murs
De l'injustice
Se faire entendre.
Ne pas se laisser prétendre
Coupable
En toute occasion !
Justice... Justice
Pourras-tu un jour
Réparer... l'irréparable
Dans nos têtes
Se frayant malgré tout
Un chemin si timide
Soit-il !
Pour nous tous,
Pauvres... coupables!!
Nous rendras-tu enfin
Ta véritable justice,
Qui soit équitable !
votre commentaire -
SANS ABSOLUTION AUCUNE
Je suis la loi du silence
Et celle de la honte,
De l’éclaboussure permanente,
D'une brûlure immense.
Je suis une morsure,
Je suis une déchirure,
Je suis une honte
Sans absolution aucune.
Obscurs sont les ténèbres,
Glauque est mon mal-être.
Le dos courbé par des lois,
Des dominations ancestrales.
Je suis m'importe qui,
Je suis m'importe quoi ;
La dictature de l’apparence
M'a encore joué des tours.
Je voudrais crier,
Me révolter, me rebeller,
Mais je me sens dominer
Par le poids de la honte
Et du silence imposés.
Je suis devenue sa proie
Facile, soumise,
Mais salie, souillée
Par les délires masculins.
Quand ferons-nous
Tombés tous les tabous,
Ce qui devrait nous permettre
De nous reconstruire !
Quand la justice du plus fort
Sera-t-elle enfin abolie
Par une loi plus juste
Et meilleure !
votre commentaire -
SANS ABSOLUTION AUCUNE
Je suis la loi du silence
Et celle de la honte,
De l’éclaboussure permanente,
D'une brûlure immense.
Je suis une morsure,
Je suis une déchirure,
Je suis une honte
Sans absolution aucune.
Obscurs sont les ténèbres,
Glauque est mon mal-être.
Le dos courbé par des lois,
Des dominations ancestrales.
Je suis m'importe qui,
Je suis m'importe quoi ;
La dictature de l’apparence
M'a encore joué des tours.
Je voudrais crier,
Me révolter, me rebeller,
Mais je me sens dominer
Par le poids de la honte
Et du silence imposés.
Je suis devenue sa proie
Facile, soumise,
Mais salie, souillée
Par les délires masculins.
Quand ferons-nous
Tombés tous les tabous,
Ce qui devrait nous permettre
De nous reconstruire !
Quand la justice du plus fort
Sera-t-elle enfin abolie
Par une loi plus juste
Et meilleure !JUSTICE
Mâchoires contractées,
Je coule du béton
A coups de poing
Face aux murs de mon passé.
Tête tétanisée,
Par le poids de la domination.
Plus aucun repère...
Sexe... Ne pas aimer.
Sexe me rongeant la tête,
Culpabilité, viols,
Croix gammée,
Secte satanique.
Je me perds, je m'égare
Aux portes des enfers...
Satanique.
Mais le tumulte intérieur
Fait un tel bruit
Qu'il nous faut crier !
Crier pour ne pas sombrer,
Et... Surtout, serrer les poings
devant la douleur
Si intense soit-elle
Hurler... Hurler
Nos vies assassinées.
Puis... Écrire,
Pour ensuite, décrire,
Des mots durs,
Les extirper de leur silence,
Pour qu'enfin
Le monde entier sache,
Entende... Comprenne...
Nos têtes fracassées,
Nos têtes explosées,
Nous laissant à tout jamais
Déboussolées.
Égratignures,
Blessures,
Amertumes
S'inscrivent dans nos mémoires,
Dans une totale indifférence
Doute... Doute...
A demie calcinée
Masque... Masque...
A demie figée
Briser... Briser nos doutes.
Nos regards qui se perdent
entre silence, douleur et souffrance.
Ne pas sombrer,
Ne surtout pas sombrer.
Crier... Crier ça déchire.
Sur les hauts murs
De l'injustice
Se faire entendre.
Ne pas se laisser prétendre
Coupable
En toute occasion !
Justice... Justice
Pourras-tu un jour
Réparer... l'irréparable
Dans nos têtes
Se frayant malgré tout
Un chemin si timide
Soit-il !
Pour nous tous,
Pauvres... coupables!!
Nous rendras-tu enfin
Ta véritable justice,
Qui soit équitable !MAUDIT PASSE
Pourquoi me cours-tu après ?!
Quand au détour d'une phrase
Tu resurgis implacable.
Je t'ai cent fois enterré
Sous milles cendres,
Braises incandescentes,
Je t'ai aussi cent fois maudit
De réapparaître, de survivre
Sous milles apparences.
Mais, je suis pugnace,
Aussi pugnace
Que cette hache
Qui sans-cesse tournoie
Afin de s’abattre sur moi !PAUVRE CHIEN
Je suis un chien
Qui part blessé,
Je suis sans laisse,
Je suis sans collier,
Un perdant, un looser,
Qui n'a connu
Qu'injustice et malchance.
Un petit chien perdu
Dans l'immensité de la nuit,
Je n'ai jamais geint,
Je ne me suis jamais plaint
De toutes ces maltraitances.
Malgré mes blessures
J'ai réussi à traverser
Milles frontières,
Ainsi que milles colères,
Sur une mer démontée
J'ai eu à affronter
Milles supplices.
J'ai eu faim,
J'ai eu froid,
Mais les regards
De compassion absurde,
Qui se sont posés sur moi,
M'ont aidée à surmonter
Les morsures du temps,
Malgré le lourd fardeau
Que m'a imposée
Ma vie chaotique.
Comme on dit,
Dans la vie, il faut
Toujours un perdant,
Un looser, un bâtard,
Un plus plus faible que soi !
Mon passé,
Mieux vaut l’occulté,
Mais quand quelques imbéciles
Me le renvoie à la figure,
Je serre les poings,
e contracte ma mâchoire
Jusqu'au sang.
Les imbéciles ne m’auront pas !
Je pars... Ma rancune
M'emboîte le pas,
Et mes désillusions
S’enchaînent les unes aux autres.
Larmes amères,
Déceptions qui blessent,
Murs infranchissables
Que nul ne peut surmonter
Du jeune chien
Plein d’espérance,
Je suis devenu vieux,
Meurtri par toutes les blessures
Que m'impose la vie dure.
Looser avez-vous dit ?
Non ! Mais partante
Pour ne point sombrer !JE DÉRANGE
Je dis haut et fort
Ce que je pense
Qu'y-a-t-il de mal à cela ?
Mais... Je dérange.
La liberté de dire,
La liberté de penser
Sont plus importantes
Que tous les commérages
De bas étages,
Pouvant être mortels
Pour celui ou celle
Qui est dénigré.
Je dis ce que je pense,
On me dit cassante,
Je dérange,
On me met de côté,
Vous parlez, je ne suis pas
Fréquentable, et je suis considérée
Comme une pestiférée.
Obstinée à dire la vérité
Personne ne l'accepte,
La Société n'aime pas
Être dérangée
Pour quelques balivernes,
Qui dérangent les biens pensants.
Mais les cancans
Mais les commérages,
Tout ce qui vous fait du mal
et des dégâts
On les accepte,
Parce que ça plaît
A la "Société People".
Moi, je suis une femme libre
Dans ma tête j'ai fait
Le grand ménage,
Faites-en autant...
Alors, cancanez,
Alors, commérez,
Je serai toujours
Aussi cassante
Et n'en ferai
Qu'à ma tête,
Et je continuerai à déranger.SANG CLANDESTIN
Une table recouverte
D'une nappe blanche...
Toute blanche,
Mais cette blancheur
Est maculée de taches
Disparates, très désagréables,
Des noirceurs indésirables,
Où agonise en silence
Notre virginité.
Sang clandestin,
Éclaboussures,
Morsure irréparable.
Éclaboussures, souillures,
Dans un bassin
Coule... coule
Un sang opaque,
Déchirant toutes nos impuissances,
Sang clandestin.
Sang de mon sang !
Sang discriminatoire,
Sang s’arrangeant
De notre argent,
Sang de toutes les horreurs,
Sang mille fois démultiplier,
Culpabilité...
Sang sans aucune démesure,
Sang refusant toutes palabres
Tant les sondes
Aveugles, sournoises,
Nous transpercent
De part en part,
Meurtrissures, blessures
Nous mettant sur le banc
Des accusées...
Sang clandestin !
Crime de sang,
Crime sans gloire,
Crime défiant
Toutes vos lois
Dans un bain de sang,
Sang-crime,
Crime-sang,
La Société hypocrite
Ne cesse de nous montrer du doigt,
Sang clandestin.
Plus jamais de sang !
Plus jamais de crime !
Plus jamais de culpabilité !
Vous les réacs,
Vous les religieux
N'enchaînez plus les femmes
Avec vos lois ridicules
Mettant en périls nos vies !RIEN NE M EMPÊCHERAS
Rien ne m’empêchera
De crier, de hurler
De toutes mes forces,
Avec toute l’énergie
Qui me reste.
Rien ne m’empêchera
De cogner, de cogner
Quitte à m'en arracher
La peau et les ongles de mes mains.
Rien ne m'en n’empêchera
De rester l'écorchée vive,
De crier au ciel
Toutes mes amertumes
Devant l'étendue de la connerie
De tous les êtres humains.
Même si le bâillon
Qui s'est accroché
Au bout de mes lèvres
M’empêche de hurler aux vents
Toutes mes vérités.
Je ne saurais rester de glace
Devant une colère lacérée,
Celle qui sort du ventre et de mes tripes,
Mon mal être est permanent,
Amères sont mes larmes.
Qui va me tendre les bras
Pour que je sois moins transparente ?
Qui aura le courage de m'écouter,
S'assoir en face de moi
Sur un bout de trottoir
Pour que je lui raconte
Ce qu'est devenue mon histoire,
Afin qu'il me prenne
Doucement dans ses bras ?
Un père, une mère, quoi !
Qu'il me donne
Ce que je n'ai jamais eu
Dans mon enfance,
Pour pouvoir tirer un traitSur mon abandon.
LA ROUILLE
Quand la rouille
T'attaque de tous côtés
Surtout prends patience,
Avant qu'elle ne fasse
De sérieux ravages,
Dis non ! à la routine.
Ouvre grand les portes
Afin qu'elle se débine
Vite fait.
Ne prends jamais racine
Sur les portes de l'oubli,
Mais fais en sorte qu'elle
Reste tes meilleurs souvenirs,
Qu'elle reste aussi indélébile,
Qu'elle suive aussi toutes les traces
De ton passé !La manipulation
C'est un cercle vicieux
Où je tourne en rond,
Et j'ai l'impression bizarre
De me mordre sans-cesse la queue.
Je mords,
Je tourne,
Je mords,
Je tourne en rond
Et ne vois jamais
Le bout de ma queue.
C'est pernicieux,
C'est vicieux
Au possible,
C'est sournois,
C'est visqueux
Et ça vous glisse
Entre les doigts.
Ça vous paralyse
La tête,
Ça émet des sons étranges,
Ça vous parasite aussi
La cervelle,
Vous avez l'impression
D’être au bout
D'une laisse,
Menée au pas,
En cadence
Selon ses pensées.
C'est pervers,
Ça vous bloque
Et colmate le cerveau,
Lentement l’étau
Se resserre,
Vous vous retrouvez
Au pied du mur
Comme prise au piège.
Votre tête ne ressemble
A plus rien,
Vous êtes sous l'emprise du despote,
Au service d'une personne,
Qui de l’intérieur grignote
Votre liberté !
C'est un cercle vicieux
Je ne cesse de tourner en rond,
Je me damne
Et ne cesse de me mordre la queue.
C'est pervers,
C'est dévastateur,
Ça vous réduit au silence,
Et sous leurs gueules d'ange
Ça vous dévore en un rien de temps !CHATSUE
Ça ne paraît pas,
Mais je suis une statue
Vivante aux pieds d'argiles.
Parfois je m'effrite,
Et de guerre lasse je tombe
Le bec dans la glaise.
Je réagis, je me relève,
Ensuite trois pas en avant
Je glisse dans la merde,
Une merde merdique, chieuse,
Où tous les paradis me sont offerts,
Où brillent mille alcools.
Sensibilité à fleur de peau
Je suis une écorchée vive,
Je suis un chat transpercé
Par mille couteaux.
Transpercée comme ne l'auraient
Jamais été mes pieds d'argiles,
Je tombe encore une fois,
Terre d'argile à céder sous mes pas.
Museau dans le ruisseau,
Je repars à l'assaut
De mes territoires.
Chats échaudés,
Chats ébouriffés,
Chats cherchant sans cesse
Leurs repaires,
Chats, qui de toutes les manières,
Retomberont toujours
Sur leurs pattes arrières.GRINCEMENT DE DENTS
Ça me fait grincer des dents
De savoir que bientôt
Je vais disparaitre,
Faire place nette.
Pourtant... Pourtant
J'avais tant de chose à dire
Tant de chose à apprendre.
La mort, cette sale garce,
N'a rien voulu savoir,
Alors,
Je gémis sous ces dalles,
Je mords, je griffe le bois,
J'ai si froid là dedans !
Je voudrais tellement
Me débarrasser
De cette vielle carcasse,
Elle est tant usée,
Elle a tant mordu la poussière,
elle a tant connu de galères.
Mais...
Une hirondelle passe...
Trace... Elle part au loin
Apporter la bonne nouvelle;
Moi...
Je voudrais tant partir avec elle,
Me libérer, avoir des ailes,
Que sais-je ?
L'hirondelle passe,
Trace sa route,
Elle part retrouver un monde meilleur.
Moi...
Sous ces dalles, je continue
De geindre, de mordre, de griffer
Et de grincer des dents.
Mais...
L'hirondelle est ailleurs,
Elle a choisi ses armes,
Celles de la paix.
J'aurais tant voulu la suivre,
J'avais tant de choses à lui dire.
2 commentaires -
A VOUS MES DEUX SŒURS !
A vous mes deux amies,
Mes deux sœurs,
Sœurs que je n'aurais
Jamais espéré avoir.
Sœurs de souffrance,
Sœurs de douleurs
Quand clouées sur un lit,
Accrochées à une perf.,
Et pour qui tout espoir
Semblait partir en fumée.
La maladie comme un défi
Semblait nous dire :
"Il faut avancer" !
Mes deux sœurs d'espoir
Nous étions faites
Pour nous entendre !
Quand la mort rôde
Sournoisement,
On ne l'abat pas
A coups de fusils
Mais à coups de mots,
Ils sont bien plus puissants
Puisque c'est eux
Qui nous font vivre.
Le hasard est une drôle
De petite chose,
Quand dans un atelier
D'écriture trois bonnes femmes
Totalement opposées
Se rencontrent,
Dans un incessant accouchement
Nous écrivons relevant un défi.
Désormais vous resterez
Mes deux sœurs
D'une rare amitié,
Mes deux sœurs
Qui au fil des écritures
M'ont donnée une rage de vivre
Comme jamais !JE SAIS CE QUE JE VAUX
Je sais qui je suis,
Je sais ce que je vaux !
Tout le reste m'est égal,
Franchement je m'en tape
le coquillard,
Je n'ai rien à me reprocher !Chastue
Ça ne paraît pas,
Mais je suis une statue
Vivante aux pieds d'argiles.
Parfois je m'effrite,
Et de guerre lasse je tombe
Le bec dans la glaise.
Je réagis, je me relève,
Ensuite trois pas en avant
Je glisse dans la merde,
Une merde merdique, chieuse,
Où tous les paradis me sont offerts,
Où brillent mille alcools.
Sensibilité à fleur de peau
Je suis une écorchée vive,
Je suis un chat transpercé
Par mille couteaux.
Transpercée comme ne l'auraient
Jamais été mes pieds d'argiles,
Je tombe encore une fois,
Terre d'argile à ceder sous mes pas.
Museau dans le ruisseau,
Je repars à l'assaut
De mes territoires.
Chats échaudés,
Chats ébouriffés,
Chats cherchant sans cesse
Leurs repaires,
Chats, qui de toutes les manières,
Retomberont toujours
Sur leurs pattes arrières.Grincement de dents
Ça me fait grincer des dents
De savoir que bientôt
Je vais disparaitre,
Faire place nette.
Pourtant... Pourtant
J'avais tant de chose à dire
Tant de chose à apprendre.
La mort, cette sale garce,
N'a rien voulu savoir,
Alors,
Je gémis sous ces dalles,
Je mords, je griffe le bois,
J'ai si froid là dedans !
Je voudrais tellement
Me débarrasser
De cette vielle carcasse,
Elle est tant usée,
Elle a tant mordu la poussière,
elle a tant connu de galères.
Mais...
Une hirondelle passe...
Trace... Elle part au loin
Apporter la bonne nouvelle;
Moi...
Je voudrais tant partir avec elle,
Me libérer, avoir des ailes,
Que sais-je ?
L'hirondelle passe,
Trace sa route,
Elle part retrouver un monde meilleur.
Moi...
Sous ces dalles, je continue
De geindre, de mordre, de griffer
Et de grincer des dents.
Mais...
L'hirondelle est ailleurs,
Elle a choisi ses armes,
Celles de la paix.
J'aurais tant voulu la suivre,
J'avais tant de choses à lui dire.
JE SUIS
Je suis un chant contestataire.
Je suis un champ qui sort de le terre,
Où les blés et le vent du large
Aiment amoureusement caresser.
Je suis un poing,
Un poing qui menace,
Un poing qui trace,
Qui surtaxe
Toutes les révolutions.
Je suis un chant
Qui survole,
Un chant rouge gorge
Chantant aux rythmes
Des quatre saisons,
Un chant qui agace,
Un chant de rapace
Qui sous ses grandes ailes
Fuit un monde à la con !BEAUCOUP DE MOTS
Dans chaque silence
Beaucoup de hasard
Qui se croisent,
Grandissent en vous.
Beaucoup de silence
Dans chaque rencontre,
Beaucoup de hasard
Dans chaque silence
Qui en dit long
Sur ce que l'on pense !
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